J’ay estimé que ce m’est un grand bien
D’avoir acquis ta bonne cognoissance,
Te cognoissant, bien heureux je me tien :
Car amytié est heur de suffisance.
Puis la Vertu de ma bonne esperance
Qui tant m’a fait en ce monde escouter
Me dit tousjours que pour estre en avance,
Je ne doy point de ton credit doubter.